Surligneur 2 traductions
# | Darby | DarbyR |
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1 | Qui est celui-ci, qui vient d’Édom, de Botsra, avec des habits teints en rouge, celui-ci, qui est magnifique dans ses vêtements, qui marche dans la grandeur de sa force ? C’est moi, qui parle en justice, – puissant pour sauver. – | Qui est celui-ci, qui vient d’Édom, de Botsra, avec des habits teints en rouge, celui-ci, qui est magnifique dans ses vêtements, qui marche dans la grandeur de sa force ? C’est moi, qui parle avec justice, puissant pour sauver. |
2 | Pourquoi y a-t-il du rouge à tes vêtements, et tes habits sont-ils comme celui qui foule dans la cuve ? | Pourquoi y a-t-il du rouge à tes vêtements, et tes habits sont-ils comme celui qui foule dans la cuve ? |
3 | J’ai été seul à fouler le pressoir, et d’entre les peuples pas un homme n’a été avec moi ; et je les ai foulés dans ma colère, et je les ai écrasés dans ma fureur, et leur sang a rejailli sur mes habits, et j’ai souillé tous mes vêtements. | J’ai été seul à fouler au pressoir, et d’entre les peuples pas un homme n’a été avec moi ; je les ai foulés dans ma colère, je les ai écrasés dans ma fureur ; leur sang a rejailli sur mes habits, et j’ai souillé tous mes vêtements. |
4 | Car le jour de la vengeance était dans mon coeur, et l’année de mes rachetés était venue. | Car le jour de la vengeance était dans mon coeur, et l’année de mes rachetés était venue. |
5 | Et je regardai, et il n’y avait point de secours ; et je m’étonnai de ce qu’il n’y avait personne qui [me] soutienne ; et mon bras m’a sauvé, et ma fureur m’a soutenu. | J’ai regardé, mais il n’y avait pas de secours ; et je me suis étonné de ce qu’il n’y avait personne pour [me] soutenir ; alors mon bras m’a sauvé, et ma fureur m’a soutenu. |
6 | Et j’ai foulé les peuples dans ma colère, et je les ai enivrés dans ma fureur ; et j’ai fait couler leur sang à terre. | J’ai foulé aux pieds les peuples dans ma colère, et je les ai enivrés dans ma fureur ; j’ai fait couler leur sang à terre. |
7 | Je rappellerai les bontés de l’Éternel, les louanges de l’Éternel, selon tout ce dont l’Éternel nous a comblés, et les grands bienfaits envers la maison d’Israël, dont il l’a comblée selon ses compassions et selon la multitude de ses bontés. | Je rappellerai les bontés de l’Éternel, les louanges de l’Éternel, selon tout ce dont l’Éternel nous a comblés, et [je rappellerai] les grands bienfaits dont il a comblé la maison d’Israël, selon ses compassions et selon la multitude de ses bontés. |
8 | Et il dit : Certainement ils sont mon peuple, des fils qui ne mentiront pas ; et il est devenu leur sauveur. | Il a dit : Certainement ils sont mon peuple, des fils qui ne mentiront pas ; et il est devenu leur sauveur. |
9 | Dans toutes leurs détresses, il a été en détresse, et l’Ange de sa face les a sauvés ; dans son amour et dans sa miséricorde il les a rachetés, et il s’est chargé d’eux, et il les a portés tous les jours d’autrefois ; | Dans toutes leurs détresses, il a été en détresse, et l’Ange de sa face les a sauvés ; dans son amour et dans sa miséricorde il les a rachetés, il s’est chargé d’eux et il les a portés tous les jours d’autrefois ; |
10 | mais ils se rebellèrent et contristèrent l’Esprit de sa sainteté, et il se changea pour eux en ennemi ; lui-même, il combattit contre eux. | mais ils se rebellèrent et attristèrent son Esprit de sainteté, et il se changea pour eux en ennemi ; lui-même, il combattit contre eux. |
11 | Mais il se souvint des jours d’autrefois, de Moïse, de son peuple : Où est celui qui les fit monter de la mer, avec les bergers de son troupeau ? Où est celui qui mit l’Esprit de sa sainteté au-dedans de lui, | Mais il se souvint des jours d’autrefois, de Moïse, de son peuple : Où est celui qui les fit monter de la mer, avec les bergers de son troupeau ? Où est celui qui mit son Esprit de sainteté au-dedans de lui, |
12 | son bras magnifique les faisant marcher par la droite de Moïse ; – qui fendit les eaux devant eux pour se faire un nom à toujours, | son bras magnifique les faisant marcher par la [main] droite de Moïse ? Celui qui [aussi] fendit les eaux devant eux pour se faire un nom à toujours, |
13 | qui les a fait marcher par les abîmes, comme un cheval dans le désert ? Ils ne bronchaient pas. | qui les a fait marcher par les abîmes, comme un cheval dans le désert ? Ils ne trébuchaient pas. |
14 | Comme une bête descend dans la vallée, l’Esprit de l’Éternel leur donna du repos. Ainsi tu as conduit ton peuple, pour te faire un nom magnifique. | Comme on fait descendre une bête dans la vallée, l’Esprit de l’Éternel leur donna du repos. Ainsi tu as conduit ton peuple, pour te faire un nom magnifique. |
15 | Regarde des cieux, et vois, de la demeure de ta sainteté et de ta magnificence ! Où sont ta jalousie et ta puissance, le frémissement de tes entrailles et de tes compassions ? Se retiennent-elles envers moi ? | Regarde des cieux, et vois, de la demeure de ta sainteté et de ta magnificence ! Où sont ta jalousie et ta puissance, le frémissement de tes entrailles et de tes compassions ? Se retiennent-elles envers moi ? |
16 | Car tu es notre père : si Abraham ne nous connaît pas, et si Israël nous ignore, toi, Éternel, tu es notre Père ; ton nom est : Notre rédempteur, de tout temps. | Car tu es notre père : si Abraham ne nous connaît pas, et si Israël nous ignore, toi, Éternel, tu es notre Père ; ton nom est : Notre rédempteur, de tout temps. |
17 | Pourquoi nous as-tu fait errer, ô Éternel, loin de tes voies, [et] as-tu endurci notre coeur pour ne pas te craindre ? Retourne-toi, à cause de tes serviteurs, des tribus de ton héritage. | Pourquoi nous as-tu fait errer, ô Éternel, loin de tes voies, et as-tu endurci notre coeur pour ne pas te craindre ? Retourne-toi, à cause de tes serviteurs, [à cause] des tribus de ton héritage. |
18 | Ton peuple saint ne l’a possédé que pour peu [de temps] ; nos ennemis ont foulé aux pieds ton sanctuaire. | Ton peuple saint ne l’a possédé que pour peu [de temps] ; nos ennemis ont foulé aux pieds ton sanctuaire. |
19 | Nous sommes [comme ceux] sur lesquels tu n’as jamais dominé, qui ne sont pas appelés de ton nom. Oh ! si tu fendais les cieux ! Si tu voulais descendre, [et] que devant toi les montagnes se fondent, – | Nous sommes [comme ceux] sur lesquels tu n’as jamais dominé, qui ne sont pas appelés de ton nom. Oh ! si tu fendais les cieux ! Si tu voulais descendre, et que devant toi les montagnes se fondent, – |
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