Surligneur 2 traductions
# | Darby | DarbyR |
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1 | Je suis venu dans mon jardin, ma soeur, [ma] fiancée ! J’ai cueilli ma myrrhe avec mes aromates, j’ai mangé mon rayon de miel avec mon miel, j’ai bu mon vin avec mon lait. Mangez, amis ; buvez, buvez abondamment, bien-aimés ! | Je suis venu dans mon jardin, ma soeur, [ma] fiancée ! J’ai cueilli ma myrrhe avec mes aromates, j’ai mangé mon rayon de miel avec mon miel, j’ai bu mon vin avec mon lait. Mangez, amis ; buvez, buvez abondamment, bien-aimés ! |
2 | Je dormais, mais mon coeur était réveillé. C’est la voix de mon bien-aimé qui heurte : Ouvre-moi, ma soeur, mon amie, ma colombe, ma parfaite ! Car ma tête est pleine de rosée, mes boucles, des gouttes de la nuit. | Je dormais, mais mon coeur était réveillé. C’est la voix de mon bien-aimé qui heurte : Ouvre-moi, ma soeur, mon amie, ma colombe, ma parfaite ! Car ma tête est pleine de rosée, mes boucles, des gouttes de la nuit. |
3 | – Je me suis dépouillée de ma tunique, comment la revêtirais-je ? J’ai lavé mes pieds, comment les salirais-je ? – | – Je me suis dépouillée de ma tunique, comment la revêtirais-je ? Je me suis lavé les pieds, comment les salirais-je ? – |
4 | Mon bien-aimé a avancé sa main par le guichet, et mes entrailles se sont émues à cause de lui. | Mon bien-aimé a avancé sa main par le guichet, et mes entrailles se sont émues à cause de lui. |
5 | Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé, et de mes mains a dégoutté la myrrhe, et de mes doigts, la myrrhe limpide, sur les poignées du verrou. | Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé, et de mes mains ont coulé des gouttes de myrrhe, et de mes doigts, des gouttes de myrrhe limpide, sur les poignées du verrou. |
6 | J’ai ouvert à mon bien-aimé, mais mon bien-aimé s’était retiré, il avait passé plus loin ; mon âme s’en était allée pendant qu’il parlait. Je le cherchai, mais je ne le trouvai pas ; je l’appelai, mais il ne me répondit pas. | J’ai ouvert à mon bien-aimé, mais mon bien-aimé s’était retiré, il avait passé plus loin ; mon âme s’en était allée pendant qu’il parlait. Je le cherchai, mais je ne le trouvai pas ; je l’appelai, mais il ne me répondit pas. |
7 | Les gardes qui font la ronde par la ville me trouvèrent ; ils me frappèrent, ils m’ont blessée ; les gardes des murailles m’ont ôté mon voile de dessus moi. | Les gardes qui font la ronde par la ville me trouvèrent ; ils me frappèrent, ils m’ont blessée ; les gardes des murailles m’ont ôté mon voile. |
8 | Je vous adjure, filles de Jérusalem, si vous trouvez mon bien-aimé, que lui direz-vous ? Que je suis malade d’amour. | Je vous adjure, filles de Jérusalem, si vous trouvez mon bien-aimé, que lui direz-vous ? Que je suis malade d’amour. |
9 | Ton bien-aimé qu’est-il de plus qu’un autre bien-aimé, ô la plus belle parmi les femmes ? Ton bien-aimé qu’est-il de plus qu’un autre bien-aimé, que tu nous adjures ainsi ? | Ton bien-aimé qu’est-il de plus qu’un autre bien-aimé, ô la plus belle parmi les femmes ? Ton bien-aimé qu’est-il de plus qu’un autre bien-aimé, que tu nous adjures ainsi ? |
10 | Mon bien-aimé est blanc et vermeil, un porte-bannière entre 10 000. | Mon bien-aimé est blanc et vermeil, un porte-bannière entre dix mille. |
11 | Sa tête est un or très fin ; ses boucles sont flottantes, noires comme un corbeau ; | Sa tête est un or très fin ; ses boucles sont flottantes, noires comme un corbeau ; |
12 | ses yeux, comme des colombes près des ruisseaux d’eau, baignés dans le lait, bien enchâssés ; | ses yeux, comme des colombes près des ruisseaux d’eau, baignés dans le lait, bien enchâssés ; |
13 | ses joues, comme des parterres d’aromates, des corbeilles de fleurs parfumées ; ses lèvres, des lis distillant une myrrhe limpide ; | ses joues, comme des parterres d’aromates, des corbeilles de fleurs parfumées ; ses lèvres, des lis distillant une myrrhe limpide ; |
14 | ses mains, des rondelles d’or, où sont enchâssées des chrysolithes ; son ventre, un ivoire poli, couvert de saphirs ; | ses mains, des rondelles d’or, où sont enchâssées des chrysolithes ; son ventre, un ivoire poli, couvert de saphirs ; |
15 | ses jambes, des colonnes de marbre blanc, reposant sur des socles d’or fin ; son port, comme le Liban, distingué comme les cèdres ; | ses jambes, des colonnes de marbre blanc, reposant sur des socles d’or fin ; son port, comme le Liban, distingué comme les cèdres ; |
16 | son palais est plein de douceur, et toute sa personne est désirable. Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, filles de Jérusalem ! | son palais est plein de douceur, et toute sa personne est désirable. Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, filles de Jérusalem ! |
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