Comparateur de versets

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1 L’homme de femme est de peu de jours et rassasié de trouble ;
L’homme de femme est de peu de jours et rassasié de trouble ;
L’homme de la femme ! Sa vie est courte, sans cesse agitée. L’être humain de la femme ! Sa vie est courte mais pleine d’agitation.(*)
2 Il sort comme une fleur, et il est fauché ; il s’enfuit comme une ombre, et il ne dure pas.
Il sort comme une fleur, et il est fauché ; il s’enfuit comme une ombre, et il ne dure pas.
Il naît, il est coupé, comme une fleur ; Il fuit et disparaît comme une ombre. Il pousse comme une fleur, puis il se flétrit ; il s’enfuit comme une ombre, sans résister.(*)
3 Pourtant, sur lui tu ouvres tes yeux, et tu me fais venir en jugement avec toi !
Pourtant, sur lui tu ouvres tes yeux, et tu me fais venir en jugement avec toi !
Et c’est sur lui que tu as l’œil ouvert ! Et tu me fais aller en justice avec toi ! Pourtant c’est sur lui que tu as l’œil ouvert, et tu me fais aller en justice avec toi !(*)
4 Qui est-ce qui tirera de l’impur un [homme] pur ? Pas un !
Qui est-ce qui tirera de l’impur un [homme] pur ? Pas un !
Comment d’un être souillé sortira-t-il un homme pur ? Il n’en peut sortir aucun. Qui fera sortir le pur de l’impur ? Personne.(*)
5 Si ses jours sont déterminés, si le nombre de ses mois est fixé par toia, si tu lui as posé ses limites, qu’il ne doit pas dépasser,
Si ses jours sont déterminés, si le nombre de ses mois est par-devers toi, si tu lui as posé ses limites, qu’il ne doit pas dépasser,
Si ses jours sont fixés, si tu as compté ses mois, Si tu en as marqué le terme qu’il ne saurait franchir, Si les jours de l’homme sont fixés, si tu as déterminé le nombre de ses mois, si tu en as marqué les limites qu’il ne peut franchir,(*)
6 Détourne de lui ton regard, et il aura du repos, jusqu’à ce que, comme un ouvrier, il achève sa journée ;
Détourne de lui ton regard, et il aura du repos, jusqu’à ce que, comme un mercenaire, il achève sa journée ;
Détourne de lui les regards, et donne-lui du relâche, Pour qu’il ait au moins la joie du mercenaire à la fin de sa journée. détourne les regards de lui et accorde-lui du répit pour qu’il ait au moins la joie du salarié à la fin de sa journée !(*)
7 Car il y a de l’espoir pour un arbre : s’il est coupé, il repoussera encore, et ses rejetons ne cesseront pas.
Car il y a de l’espoir pour un arbre : s’il est coupé, il repoussera encore, et ses rejetons ne cesseront pas.
Un arbre a de l’espérance : Quand on le coupe, il repousse, Il produit encore des rejetons ; En effet, pour un arbre il y a de l’espérance : quand on le coupe, il repousse et il produit encore des rejetons ;
8 Si sa racine vieillit dans la terre, et si son tronc meurt dans la poussière,
Si sa racine vieillit dans la terre, et si son tronc meurt dans la poussière,
Quand sa racine a vieilli dans la terre, Quand son tronc meurt dans la poussière, même si sa racine a vieilli dans la terre et que son tronc meurt dans la poussière,
9 À l’odeur de l’eau il poussera, et il fera des branches comme un jeune plant ;
À l’odeur de l’eau il poussera, et il fera des branches comme un jeune plant ;
Il reverdit à l’approche de l’eau, Il pousse des branches comme une jeune plante. il reverdit à l’approche de l’eau, il développe des branches comme une jeune plante.(*)
10 Mais l’homme meurt et gît  ; l’homme expire, et est-il ?
Mais l’homme meurt et gît  ; l’homme expire, et est-il ?
Mais l’homme meurt, et il perd sa force ; L’homme expire, et est-il ? Quant à l’homme, il meurt et il reste inerte. Quand l’être humain expire, est-il ?
11 Les eaux s’en vont du lac ; et la rivière tarit et sèche :
Les eaux s’en vont du lac ; et la rivière tarit et sèche :
Les eaux des lacs s’évanouissent, Les fleuves tarissent et se dessèchent ; L’eau de la mer se retire, les fleuves arrêtent de couler et deviennent tout secs.
12 Ainsi l’homme se couche et ne se relève pas : jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de cieux, ils ne s’éveillent pas, et ils ne se réveillent pas de leur sommeil.
Ainsi l’homme se couche et ne se relève pas : jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de cieux, ils ne s’éveillent pas, et ils ne se réveillent pas de leur sommeil.
Ainsi l’homme se couche et ne se relèvera plus, Il ne se réveillera pas tant que les cieux subsisteront, il ne sortira de son sommeil. De la même manière, l’homme se couche pour ne plus se relever. Il ne se réveillera pas tant que le ciel subsistera, il ne sortira pas de son sommeil.(*)
13 Oh ! si tu voulais me cacher dans le shéol, me tenir caché jusqu’à ce que ta colère se détourne, me fixer un temps arrêté, et puis te souvenir de moi, –
Oh ! si tu voulais me cacher dans le shéol, me tenir caché jusqu’à ce que ta colère se détourne, me fixer un temps arrêté, et puis te souvenir de moi, –
Oh ! si tu voulais me cacher dans le séjour des morts, M’y tenir à couvert jusqu’à ce que ta colère soit passée, Et me fixer un terme auquel tu te souviendrais de moi ! Si seulement tu voulais me cacher dans le séjour des morts, m’y tenir à l’abri jusqu’à ce que ta colère soit passée ! Tu me fixerais un délai, puis tu te souviendrais de moi.(*)
14 (Si un homme meurt, revivra-t-il ?) tous les jours de ma détresse, j’attendrais jusqu’à ce que mon état vienne à changer :
(Si un homme meurt, revivra-t-il ?) tous les jours de ma détresse, j’attendrais jusqu’à ce que mon état vienne à changer :
Si l’homme une fois mort pouvait revivre, J’aurais de l’espoir tout le temps de mes souffrances, Jusqu’à ce que mon état vienne à changer. Mais si l’homme meurt, revivra-t-il ? Si tel était le cas, je garderais l’espoir, pendant toute ma vie de luttes, que ma situation vienne à changer.(*)
15 Tu appellerais, et moi je te répondrais ; ton désir serait tourné vers l’œuvre de tes mains ;
Tu appellerais, et moi je te répondrais ; ton désir serait tourné vers l’œuvre de tes mains ;
Tu appellerais alors, et je te répondrais, Tu languirais après l’ouvrage de tes mains. Tu appellerais et moi, je te répondrais. Ton désir serait résolument tourné vers ta créature.(*)
16 Car maintenant tu comptes mes pas : ne veilles-tu pas sur mon péché ?
Car maintenant tu comptes mes pas : ne veilles-tu pas sur mon péché ?
Mais aujourd’hui tu comptes mes pas, Tu as l’œil sur mes péchés ; Alors que maintenant tu comptes mes pas, tu n’aurais plus l’œil sur mes péchés ;
17 Ma transgression est scellée dans un sac, et [dans tes pensées] tu ajoutes à mon iniquité.
Ma transgression est scellée dans un sac, et [dans tes pensées] tu ajoutes à mon iniquité.
Mes transgressions sont scellées en un faisceau, Et tu imagines des iniquités à ma charge. tu enfermerais ma transgression dans un sac et tu blanchirais ma faute.(*)
18 Mais une montagne qui s’éboule est réduite en poussière, et le rocher est transporté de son lieu ;
Mais une montagne qui s’éboule est réduite en poussière, et le rocher est transporté de son lieu ;
La montagne s’écroule et périt, Le rocher disparaît de sa place, Mais la montagne qui s’écroule est réduite en poussière, le rocher bouge de son emplacement,(*)
19 Les eaux usent les pierres, leur débordement emporte la poussière de la terre : ainsi tu fais périr l’espoir de l’homme.
Les eaux usent les pierres, leur débordement emporte la poussière de la terre : ainsi tu fais périr l’espoir de l’homme.
La pierre est broyée par les eaux, Et la terre emportée par leur courant ; Ainsi tu détruis l’espérance de l’homme. l’eau use les pierres et ses courants entraînent la poussière de la terre. De la même manière, tu fais disparaître l’espérance de l’homme.(*)
20 Tu le domines pour toujours, et il s’en va ; tu changes sa face, et tu le renvoies.
Tu le domines pour toujours, et il s’en va ; tu changes sa face, et tu le renvoies.
Tu es sans cesse à l’assaillir, et il s’en va ; Tu le défigures, puis tu le renvoies. Tu l’assailles sans cesse et il s’en va ; tu le défigures, puis tu le renvoies.(*)
21 Ses fils sont honorés, et il ne le sait pas ; ils sont abaissés, et il ne s’en aperçoit pas.
Ses fils sont honorés, et il ne le sait pas ; ils sont abaissés, et il ne s’en aperçoit pas.
Que ses fils soient honorés, il n’en sait rien ; Qu’ils soient dans l’abaissement, il l’ignore. Ses fils peuvent connaître la gloire, il n’en sait rien ; ils peuvent devenir insignifiants, il n’en perçoit rien.
22 Sa chair ne souffre que pour lui-même, et son âme ne mène deuil que sur lui-même.
Sa chair ne souffre que pour lui-même, et son âme ne mène deuil que sur lui-même.
C’est pour lui seul qu’il éprouve de la douleur en son corps, C’est pour lui seul qu’il ressent de la tristesse en son âme. C’est pour lui seul qu’il éprouve de la douleur dans son corps, c’est pour lui seul qu’il ressent de la tristesse dans son âme.(*)
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